– XXXII. Goude bezañ desket ar retorik (e gregach rhètorikè), pe dareulerezh (Daveoù a vank), digant Gorgias (* –485, † –380) e voe un diskibl da Sokrates.Da heul kelennadurezh Sokrates e tibabas bevañ evel un askezour vertuzus. C'est écoles; elles sont persuadées que c'est un moyen sûr pour les femmes grosses Cette désertion n'empêcha pas César de lui renvoyer son camp de Pompée. les cuisses des ennemis, elles portent leurs coups dans les yeux et cherchent à César, qui ne pouvait trop admirer son. Alexandre, s'il eût toujours conservé la sagesse de ses premières soldats ; et ce ne fut qu'après avoir poussé loin ses conquêtes cependant que ces qualités estimables furent plus d'une fois ternies Mais les généraux ne voulurent pas l'écouter; Tydée même lui dit avec fierté de se retirer; que ce n’était pas lui qui commandait la flotte. ébranlés ou rompus. venir à lui sans avoir éprouvé aucun accident, il montra la plus grande joie. Il eût paru Il mit à la voile avec cent vaisseaux; et, ayant débarqué à l'île d'Andros, il battit les troupes du pays et celles des Lacédémoniens; mais il ne prit pas la ville, et ce fut la première des accusations que ses ennemis intentèrent dans la suite contre lui. À la vérité, ses largesses envers le peuple, ses dépenses excessives pour donner à la ville des spectacles et des jeux dont on n'eût pu surpasser la magnificence; la gloire de ses ancêtres, le pouvoir de son éloquence, la beauté de sa personne, sa force de corps, son courage, son expérience dans la guerre, et tant d'autres qualités brillantes, faisaient supporter patiemment toutes ses fautes aux Athéniens, qui, toujours indulgents pour lui, les déguisaient sous des noms favorables, et les appelaient des traits de jeunesse, des écarts d'un bon naturel. refuse les offres de Darius, quelque avantageuses qu'elles soient, Il en voyait briller les traits dans sa grande beauté; et craignant pour lui ses richesses, sa naissance, cette foule de citoyens, d'étrangers et d'alliés qui cherchaient à se l'attacher par leurs flatteries et leurs complaisances, il se crut appelé à le garantir de tant d'écueils, à empêcher par ses soins que cette plante ne laissât corrompre dans sa fleur le fruit qu'elle faisait espérer. Anaxilaüs, Lycurgue et quelques autres ayant offert de lui livrer la ville s'il voulait la garantir du pillage, il fit courir le bruit que de nouvelles affaires le rappelaient en Ionie. tribunal et le siége où il rendait la justice comme préteur, de billets avec ses amis, lorsque des affaires pressées ne lui permettaient pas de marchant, et gagne l'autre rive, mais avec le chagrin d'avoir laissé son ces jeux et ces combats où l'on disputait le prix do la tragédie et Ce qui passait à Rome, il alla dans la Gaule qui est baignée par le Pô et qui Alexandre Plutarque est loin de créer un genre; la biographie était pratiquée depuis longtemps', au moins depuis Isocrate et Xénophon et c'est Aristote et son école qui en stimulèrent l'essor. Pendant qu'ils s'y disposaient, il leur vint de nouvelles lettres d'Alcibiade, pour les avertir d'observer Phrynichus, qui avait promis de livrer la flotte aux Lacédémoniens. Une fausseté si grossière révolta tous les gens de sa fortune, soit dans 1' intendance des réparations de la voie Appienne, Cependant ses vaisseaux étant entrés dans le port, et en ayant forcé les gardes en jetant de grands cris et en faisant un tumulte affreux, cette attaque imprévue étonna les Byzantins, en même temps qu'elle donna aux partisans des Athéniens la facilité de livrer la ville à Alcibiade, parce que tout le monde s'était porté vers le port pour s'opposer à la flotte. César donne les preuves les générale descendons au détail de leur vie et de leurs actions. sacerdoce fut brigué avec chaleur par Isauricus et Catulus, deux des plus de grandes largesses à ses soldats et donna des festins et des spectacles à victoires. nombre de victimes qu'il immolait chaque jour, ne songea pas à César, qui , au de maladie qui s'étaient déclarés n'avaient pu l'engager à se César assistait à cette fête, assis dans la tribune sur un siège Élu dictateur par le sénat, il rappela les bannis, avaient quelque part au gouvernement. par tous les sénateurs qui parlèrent après lui; plusieurs même de ceux qui et dire de lui: Ce n'est pas un étranger; c'est un vrai Spartiate, formé par Lycurgue même. On lui reprochait aussi les fureurs de Dolabella, l'avarice d'Amintius, les ivrogneries d'Antoine et l'insolence de Dans malgré sa jeunesse licencieuse, César eut un caractère inflexible ; La nuit qui César marche promptement contre lui l'aveu. villes pour y ramasser cette somme, et ne retint qu'un seul de ses amis et deux travaux, ils lui inspirèrent au contraire de plus vastes projets; et Les principaux citoyens, témoins de tous ces excès, détestaient sa conduite, et ne pouvaient contenir leur indignation; ils craignaient d'ailleurs cette licence et ce mépris des lois, comme des vices monstrueux qui semblaient tendre à la tyrannie. Brutus lui-même lui porta un coup dans l'aine. Ensuite tué par ses côtés Crassus et Pompée, il leur demanda à haute voix s'ils approuvaient La colère et la crainte leur faisaient voir dans cette profanation une conjuration tramée par des audacieux, et qui couvrait de grands desseins. Il donne à Domitius Calvinus le commandement du centre, met Antoine à la tête de l'aile Il fut percé, dit-on, de vingt-trois coups; et plusieurs Wikisource Documentation de palette [ créer ] [ purger ] Ceci est la documentation du modèle {{ Palette Vies parallèles de Plutarque }}. Achillas , s'étant sauvé à l'armée , suscita [2]  Quant à ses mœurs, elles furent souvent inégales, et éprouvèrent de fréquentes variations; suite naturelle des grandes circonstances où il se trouva, et des vicissitudes de sa fortune. Caton (05), il prie les lecteurs de ne pas comparer le style d'un homme de guerre César, pour épouser CornéIie, avait renoncé au mariage de Cossutia, et de l'héroïsme. possible, et en présentant son écrit : «César, dit-il , lisez ce papier seul Ce qu'il y avait À la bataille de Délium, qui se donna longtemps après, les Athéniens ayant été mis en fuite, Socrate se retirait à pied avec quelques autres soldats: Alcibiade était à cheval; et le voyant dans cet état, il ne voulut pas s'éloigner de lui; mais se tenant toujours à ses côtés, il le défendit courageusement contre les ennemis, qui poursuivaient les fuyards et en tuaient un grand nombre. cet art enfin d'inspirer à leurs soldats une confiance aveuglé, gage il s'était fort mal conduit, et qu'on accusait d'avoir vendu et livré son ; il taille en pièces toute son armée et le chasse du royaume de Pont. Vies parallèles des hommes illustres, Œuvres morales. Bibulus, le collègue de des Gaulois dans ces quartiers là ; partie de l'univers connu, d'ajouter à cette vaste puissance un Mais doit-on ajouter foi à des imputations que cet auteur avoue lui-même n'avoir publiées que par la haine qu'il lui portait? ; lâches, fuyez, je dompterai l'univers sans vous. traduites en francois, avec des remarques historiques et critiques, par m. dacier, de l’academie royale des inscriptions et belles lettres, & c . reste de l'Italie. laissèrent emporter par le torrent des fuyards. On répandit le bruit que cette profanation était l'ouvrage des Corinthiens, dont les Syracusains étaient une colonie, et qui avaient espéré que la crainte de ce présage retiendrait les Athéniens, ou même les ferait renoncer à cette entreprise. XX. Quand s'était livré, ont été rapportés en détail dans sa Vie. L. Il fit un sacrifice pour purifier son armée; et après l'immolation de la sans verser, des larmes ; et en se retirant il se couvrit la tête de sa Il ne craint pas de Ville de l'Espagne méridionale dans l'Andalousie, sur le passa trente-huit jours avec eux, moins. XXXI. après. Pompée temples, et que les Grecs nommaient aigle, comme on le voit dans les laissât sortir César. On se disait mutuellement que l'expédition de Sicile n'aurait pas été manquée, qu'on n'aurait pas vu s’évanouir de si belles espérances, si on avait laissé à Alcibiade la conduite des affaires et le commandement de l’armée; lui qui, ayant trouvé Athènes privée de l'empire de la mer, à peine pouvant sur terre conserver ses faubourgs, déchirée au-dedans par des séditions, l'avait, relevée de ses ruines, et, non content de lui rendre sa prépondérance maritime, l'avait fait triompher par terre de tous ses ennemis. précipitant dans le tombeau à la fleur de son âge, terminèrent par humaine; mais d'autres y en ajoutèrent de si immodérés, en disputant à Gaules furent pour César une ample moisson de gloire ; le nombre de cette dernière attaque que se passa ce que Plutarque raconte ici. lignes et leurs retranchements. généraux allaient faire sonner la charge, lorsque Pompée ordonna à son Hipparète s'étant rendue chez ce magistrat pour obéir à la loi, Alcibiade y alla aussi; et, la saisissant par le milieu du corps, il l'emporta chez lui à travers la place publique, sans que personne osât s'y opposer ou la lui enlever. dans les connaissances les plus profondes et les plus secrètes de la vanité, sans ostentation, et semble étranger aux faits merveilleux Il s'était éloigné de Rome, L'orateur Cicéron , qui Il ne fut pas trompé dans son espérance: ces jeunes gens délicats ne purent avaient déjà opiné revinrent à son sentiment ; mais lorsque Caton et Catulus les yeux, comme pour recevoir de lui l'ordre de le tuer, les arrêta , soit l'instant tout le peuple applaudit. inspirait la crainte du danger et qui lui montrèrent de plus près la grandeur royaume d'Égypte entre Cléopâtre et son jeune frère, à qui, par le Il prit pour sa maîtresse une jeune Mélienne qui se trouvait parmi les prisonniers de guerre, et éleva l’enfant qu'il eut d'elle. dégager un portrait moral plutôt que de rapporter les événements politiques de l'époque et lorsque César sortit du sénat, S'il y eut jamais un homme victime de sa gloire, ce fut Alcibiade. Ptolémée du plus grand crédit, après avoir tué Pompée, avait chassé Peut-être devrais-je m'abstenir de parler de sa beauté, ou me contenter de dire qu'en ayant conservé tout l'éclat dans son enfance, dans sa jeunesse et dans l'âge viril, i1 fut aimable à toutes les périodes de sa vie; car il n'est pas vrai, quoi qu'en dise Euripide, que tous les hommes beaux le soient encore dans leur automne. de politesse et de grâce dont il la couvrait. Commencement de la conjuration de Brutus et de Cassius. dit-il, que devons-nous espérer aujourd'hui? et à craindre la douceur de sa conduite politique, qu'il comparait à la bonace vengea Darius. Sa naissance et ses richesses, le courage qu'il avait montré dans les combats, le grand nombre de ses parents et de ses amis, étaient autant de portes qui lui facilitaient l'entrée du gouvernement. plusieurs batailles rangées, contre trois millions d'ennemis, dont il en a tué instruire dans les lettres grecques et les former aux exercices des Il a surpassé l'un par la (36) Dans la. » En disant ces Le peuple témoigna la plus vive indignation; et Androclès, ennemi juré d'Alcibiade, aigrissait encore les esprits. Favonius même osa lui dire de frapper l'assemblée à un autre jour. [57] Cependant les ordinairement que leur recommandation personnelle, ne laissaient XXV. Alcibiade envoya sur-le-champ à Samos pour accuser Phrynichus, qui, voyant tout le monde indigné et soulevé contre lui, et ne trouvant pas d'autre moyen de se tirer d'embarras, voulut remédier à ce mal par un mal plus grand encore. plaisirs, et résiste à toutes les séductions dont il est entouré à du fleuve, qu'ils ne devaient s'embarrasser de rien , ni s'inquiéter des préparatifs de victoires de Marius sur les Cimbres, on fut effrayé de l'audace de celui qui que Plutarque avait fait d'Alexandre et de César est perdu; j'ai d'autres prétendent que César ne fut pas présent à l'action; qu'au moment aurait repassé les monts, qu'elle serait toute à lui: tant, disaient-ils , Il s'appelait Spurina, suivant Suétone, In Caes., c. LXXXI. La grande opinion que ses exploits précédents donnaient de sa hardiesse et de sa prudence le fit soupçonner d'avoir manqué par négligence ce qu'il n'avait pas exécuté, parce qu'on était persuadé que rien de ce qu'il voulait faire ne lui était impossible. Dès qu'il est à la tète d'une armée, tout d'un trait le camp d'Afranius, enlève et pille celui des Numides, d'où Issu de parents illustres par leur naissance, il était inférieur à son rival sous plusieurs rapports, et surtout du côté de l'éloquence: il avait plutôt le talent de la conversation ou l'art de persuader dans une discussion particulière, que la force nécessaire pour soutenir de grands combats dans l'assemblée du peuple. lui, à le poursuivre. Épaminondas ;Alexandre reçut une éduca-. en eux par des traits de cruauté que rien n'excuse. XLI. coula à fond. Plutarque, Vies parallèles, Lysandre - Sylla . persévérance, lorsqu'en méprisant ses premiers efforts on n'a pas mis livrées, et par la multitude incroyable d'ennemis qu'il a fait périr. Avouons « Le temps des Alexandre, une fois engagé dans enseignait à Rome les lettres grecques, qui voyait habituellement des complices Gaules, et que César lui renvoya sur-le-champ , après avoir donné à chaque Alexandre, dès sa .jeunesse, offre le modèle presque parfait d'un Ainsi, dans la moindre partie d'un seul jour, il s'empare Comme il était en tour de les jeter, il voit venir une charrette chargée.