Elle comptera 950 appareils modernes à la fin de la guerre. Les Iraniens réussirent à obtenir d'Israël des pièces détachées de chars M-48 et M-60. Cela entraîna le 18 avril 1988, une opération de grande envergure nommée Praying Mantis lancée par les États-Unis qui neutralisa le tiers de la flotte iranienne. Les exportations irakiennes de pétrole auraient été ruinées sans l'ouverture d'une nouvelle ligne par la Turquie. nécessaire]. Lors de cette guerre, "retrouver la trace des femmes tombées au champ d' honneur ... et les "mortes pour la France" depuis 1940 (1) La Seconde Guerre mondiale ... Si l'on parle communément "d'anciens combattants", on n'honore jamais les ... ce constat pour la Seconde Guerre mondiale vaut pour l'Indochine et l'Algérie. En plus, ils leur livrent des immenses réservoirs largables de 5 000 litres et modifient les RB pour pouvoir les transporter. L'Égypte a aidé indirectement l'Irak en lui fournissant deux millions de travailleurs pour remplacer ses hommes mobilisés et a collaboré activement dans le développement de matériel militaire. La Syrie, au contraire, a tenté d'affaiblir l'Irak en coupant l'oléoduc reliant Kirkouk au port syrien de Baniyas. Le groupe a été mis en place par des membres du MLSPB et du BÖG, inspirés par les Brigades internationales qui ont combattu durant la guerre civile espagnole. L'Union soviétique, liée à l'Irak par un accord de coopération depuis 1972, proclama dès le début du conflit sa neutralité, coupant sur le champ les livraisons d'armes à l'Irak après son agression contre l'Iran : les accords sur les livraisons ne valaient que pour les cas de défense contre une attaque éventuelle et non pour cautionner une invasion[réf. George W. Bush a envahi l'Irak le 20 mars 2003, il y a tout juste 15 ans, mais pour les anciens combattants de cette guerre urbaine, les conséquences se font encore sentir au quotidien. L’Irak continuait à être approvisionné par la France (y compris en missiles antichars), par l'Union soviétique, la Corée du Nord, le Viêt Nam et l'Égypte, essentiellement en munitions de char T-54 et T-55, que les livraisons en matériel américain rendirent rapidement inutiles. Jésus : Mes amis, lorsque vous déciderez finalement de quitter l’Irak, il retournera à un autre dictateur ou à un État Islamique. C'est en particulier le cas de l'URSS, de la France et des États-Unis. Le commandant de l'unité, Gekko, affirme au Figaro que le groupe est en contact informel avec la Direction générale de la Sécurité intérieure[8],[13]. Le 19 octobre 1987 quatre destroyers américains attaquèrent et détruisirent presque totalement au canon naval les deux plates-formes pétrolières iraniennes de Reshadat et Resalat. La Force aérienne de la République islamique d'Iran (acronyme anglais : IRIAF), affaiblie par les purges qui suivent la révolution de 1979 et par les sanctions internationales, a cependant réagi avec efficacité aux premières offensives irakiennes. La catastrophe, qui fit 290 victimes civiles, dont 66 enfants, serait due à une « méprise ». Au début de 1983, l'Irak commença à recevoir de nombreux équipements de la République populaire de Chine dont le char Type 63, qui transita par l'Arabie saoudite. Pour Bagdad, il s’agissait d’en rajouter pour prouver aux monarchies du Golfe que l’Irak avait vaillamment joué son rôle de bouclier contre l’expansionnisme révolutionnaire iranien, de manière à les convaincre de renoncer à leurs créances pour prix du sang versé »[1]. Selon l'Iranien Hooshang Amirahmadi, fondateur du think tank Conseil Américano-Iranien, les dégâts causés aux habitations iraniennes furent considérables. L'offensive irakienne de 1980 est baptisée Kadisiyya, en référence à la conquête de l'Iran par les Arabes au VIIe siècle. Pour l'ensemble de la guerre les dégâts infligés aux habitations en Iran représentèrent un cout possible de 18 milliards de dollars[66]. la guerre d'irak : la stratÉgie du faible / 405 rejoints pour les convaincre de ne pas les utiliser23. L'Arabie saoudite, le Koweit et les autres monarchies de la péninsule Arabique ont largement financé l'effort de guerre irakien, par crainte d'une contagion révolutionnaire vers leurs propres populations chiites. L'idéologie politique des combattants est variée et comprend le marxisme-léninisme, l'hoxhaïsme, le maoïsme, et l'anarchisme. Traduction : [JFG-QuestionsCritiques] Le secrétaire général de l'ONU affirma que les nationalités « sont difficiles à déterminer, tant pour les armes que pour les utilisateurs de celles-ci ». Ces gens sont trop tribaux pour être contrôlés par une démocratie.L’Amérique ne peut pas imposer ses façons de faire à l’Irak et ce fut une erreur que de l’attaquer unilatéralement. Il est à noter que les chars T-72 irakiens qui furent livrés à partir de 1984 n'étaient pas aux standards de l'Armée rouge. Le 2 août 1988 a lieu la dernière attaque chimique irakienne de la guerre : la ville d'Oshnaviyeh est bombardée par un avion irakien et au moins un millier de personnes sont blessées[22]. En juin de cette même année, l'Irak décrète un cessez-le-feu, mais voit son territoire envahi à son tour le mois suivant. La ligne de front se stabilisa à la frontière commune, malgré de nombreuses offensives de part et d'autre, il n'y eut pas de percée majeure pendant plus de six ans. Le sort des 175 plongeurs provoqua une vague de sympathie dans les réseaux sociaux iraniens[69]. Elles s’en sont retirées en décembre 2011. Témoignages d'anciens combattants: La Deuxième Guerre mondiale. Deux voisins que tout oppose », Bulloch, John, The Gulf War : Its Origins, History and Consequences by John Bulloch and Harvey Morris, London : Methuen London, 1989, p.190, Parsi, Trita Treacherous Alliance: The secret dealings of Israel, Iran and the United States, by Trita Parsi, Yale University Press, 2007, Résolution 598 du Conseil de sécurité des Nations unies, Les effets des exportations d'armements chinois sur la violence régionale, Organisation des moudjahiddines du peuple iranien, corps des Gardiens de la révolution islamique, résolution 598 du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies, Force aérienne de la République islamique d'Iran, échec de l'opération destinée à libérer les employés, opération de grande envergure nommée Praying Mantis, plates-formes pétrolières (Iran c. États-Unis), Institut de recherche sur la paix de Stockholm, base d'aéronautique navale de Landivisiau, commission de l'ONU pour les droits de l'homme, oléoduc reliant Kirkouk au port syrien de Baniyas, Pierre Razoux : « La guerre Iran-Irak a façonné la géopolitique actuelle du Golfe », http://www.universalis.fr/encyclopedie/guerre-irak-iran-en-bref//, récit de la bataille navale sur un site web de vétérans, Iranian boat attack foreign ship during Iran-Iraq war, Livret du Groupe de l'Australie, juillet 2007, « Le désarmement chimique et le Protocole de Genève de 1925 », « Iran’s Nuclear Posture and the Scars of War », « Chemical Weapons in the Iran-Iraq war : A case study in noncompliance », « Who armed Iraq : The answers the west didn't want to hear », Engagements navals des États-Unis dans le golfe Persique, http://www.jag.navy.mil/library/investigations/USS%20STARK%20BASIC.pdf, United States Navy Judge Advocate General's Corps, Rendez-vous avec X : mai 1987, l'attaque du USS Stark (1/2), Rendez-vous avec X : mai 1987, l'attaque du USS Stark (2/2), « Jugement rendu par la cour de justice internationale sur cette affaire ». L'Allemagne de l'Ouest procura à l'Irak une grande partie de la technologie des armes chimiques[45]. Le 28 septembre 1980, la résolution 479 de l'ONU (en) demande un cessez-le-feu immédiat mais sans exiger le retrait par l'Irak des territoires iraniens qu'elle occupe[3]. Des aéroports militaires irakiens déjà existants ont également été modernisés dans le cadre de ces contrats[59]. Ils sont parfois intégrés au sein d'unités kurdes multinationales, ou bien forment leurs propres groupes. Le ministre des Affaires étrangères soviétique Édouard Chevardnadze se rendit à Qom rencontrer en mars 1989 l'ayatollah Khomeiny. Le lieutenant-général John F. Sattler et le major-général Richard F. Natonski ont dirigé 15 000 soldats américains et de la coalition contre environ 5 000 combattants insurgés dirigés par Abdullah al-Janabi et Omar Hussein Hadid. Après le succès du référendum sur l'installation d'un régime islamique en Iran, remporté officiellement à 98 % par le « oui », il appelle dès 1980 les Irakiens à renverser le régime de Saddam Hussein arrivé au pouvoir un an plus tôt. La France se contenta d'un bref communiqué condamnant « l'usage d'armes chimiques où que ce soit ». La réparation du navire coûta 142 millions de dollars à la marine américaine[29]. De plus, 52 villes en Iran furent endommagées, 6 de ces villes furent complètement rasées tandis que 15 autres subirent des niveaux de destruction allant de 30 à 80 pour cent. Après huit années de guerre, la lassitude du conflit qui s'installe, associée à la dégradation rapide des relations entre les États-Unis et l'Iran, mais aussi au déclin du soutien de la communauté internationale pour l'Irak, mène à l'acceptation d'un cessez-le-feu négocié par l'ONU. La dernière modification de cette page a été faite le 20 décembre 2020 à 18:31. Son chef déclaré, Gekko, annonce se battre pour défendre les « valeurs de la France : les Lumières, l'humanisme, la tolérance, la cohésion sociale et le respect des différences »[10]. Le scandale ébranla la Maison-Blanche, qui avait elle-même placé l'Iran sous embargo militaire après l'arrivée au pouvoir de l'ayatollah Khomeyni. L'Iran demeure quant à lui largement isolé tout au long du conflit. Son bilan est catastrophique, et tout d’abord pour l’Irak et pour son peuple. La guerre Iran-Irak a souvent été comparée à la Première Guerre mondiale du fait de la nature des tactiques militaires employées par les deux camps. Lorgnant depuis longtemps plusieurs territoires iraniens, il espère ainsi faire disparaître le régime fondamentaliste et réduire son influence sur le mouvement islamique, souhaitant lui-même prendre la gouvernance dans le monde arabe. Au début de 1980, les deux pays n'exportaient plus chacun que 600 000 barils par jour. Bien que leurs relations diplomatiques soient gelées durant cette période, l'affaire Iran-Contra prouve que des contacts et des rencontres eurent tout de même lieu entre les gouvernements de ces nations quand leurs intérêts étaient convergents. Même 40 ans après la fin de la guerre au Vietnam, les anciens soldats américains souffrent actuellement du syndrome de stress post-traumatique (TSPT) ou d’autres problèmes de santé mentale, selon une étude publiée dans JAMA Psychiatrie. Les recrues, venues de tout le continent européen, sont bénévoles (pour ne pas être accusées de mercenariat) et la plupart du temps anciens militaires[5]. Guerre irak 2003 chronologie. L’Iran estime officiellement à 300 milliards de dollars le prix de la reconstruction de son économie. Ils seraient plus de 200.000 hommes en Irak, plusieurs milliers en Syrie. L'affrontement militaire se double d'une guerre des symboles. Le groupe Australie estime à 70 000 le nombre de victimes iraniennes, dont 10 000 morts (dans leur très grande majorité des soldats) à la suite de l'emploi de ces armes[10]. Les alliés occidentaux de l'Irak furent réticents à condamner le massacre de Halabja, au cours duquel des milliers de civils kurdes furent gazés par le régime de Saddam Hussein, en dépit de l'immense émotion de l'opinion publique internationale. Il est arrivé que les jeunes volontaires endoctrinés se précipitent sur les champs de mines. Khomeini s'était exilé en Irak de 1964 au 16 octobre 1978, puis en France jusqu'au mois de janvier 1979, après avoir été expulsé d'Irak pour son activisme pro-chiite. Certains observateurs supposent que l'Irak avait capturé en un an une cinquantaine de Chieftain en bon état, ainsi que des M-60A1 et des Scorpion. Les estimations des pertes en vies humaines sont de 300 000 à plus d'un million de morts iraniens et de 200 000 Irakiens, ce qui est très élevé pour un conflit régional. nécessaire]. Il évoque également les motifs de cette attaque à un moment où les États-Unis soutiennent l'Irak. Selon l'Institut de recherche sur la paix de Stockholm, 52 pays ont fourni des armes à l'Iran ou à l'Irak durant le conflit, et 29 aux deux. nécessaire]. L'opération française de 1987-1988 dans l'océan Indien fut appelée opération Prométhée[39]. Défiler vers le bas. D'ailleurs, la démoralisation des soldats iraniens du fait des attaques chimiques de l'armée irakienne, l'impossibilité pour l'Iran de pouvoir riposter de la même manière et la peur d'une attaque chimique sur Téhéran, qui aurait eu des conséquences désastreuses, expliquent en partie la volonté de Khomeini d'accepter le cessez-le-feu du 18 juillet 1988[19]. D'autres grandes nations furent impliquées de façon directe ou indirecte dans ce conflit, surtout à travers leurs ventes d'équipements militaires. La guerre Iran-Irak fut en effet le théâtre d'un scandale de trafic d'armes : l'affaire dite « Iran-Contra », également connue sous le nom de l'Irangate. Selon une source officielle iranienne chargée du traitement des blessés chimiques, les pertes iraniennes par armes chimiques pendant la guerre seraient même de 100 000 blessés ou tués[11]. Une franchise française de l'organisation est créée le 7 janvier 2015, immédiatement après l'attentat contre Charlie Hebdo au cours duquel deux terroristes d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique commettent un carnage à la rédaction de l'hebdomadaire, à Paris[5]. Plusieurs milices locales prennent part au conflit : l'Organisation des moudjahiddines du peuple iranien s'allie à l'Irak baassiste, et de l'autre côté les milices kurdes irakiennes du Parti démocratique du Kurdistan et de l'Union patriotique du Kurdistan combattent aux côtés des forces armées iraniennes. L'Irak réussit à franchir la frontière, mais la profondeur de pénétration variait considérablement d'une percée à l'autre. Qui sont les combattants étrangers qui s’attaquent à l’Etat islamique ? Le 18 juillet 1988, Téhéran accepta le cessez-le-feu, qui prit effet le 22 du même mois. En fait, la plus forte résistance à l'avancée des troupes irakiennes viendra surtout de la milice chiite créée par Khomeini le 5 mai 1979, le « corps des Gardiens de la révolution islamique », que plus de 500 000 personnes rejoindront au cours du conflit. La Syrie, la Libye et plusieurs pays communistes leur en fournirent également. Le coût du programme chimique irakien ne représenterait donc que 0,27 % des dépenses militaires irakiennes totales sur cette période[25]. La guerre d'Irak, parfois connue sous le nom de troisième guerre du Golfe , a débuté le 20 mars 2003 avec l'invasion de l'Irak (dite « opération Iraqi Freedom ») par la coalition menée par les États-Unis contre le parti Baas de Saddam Hussein. Le 16 avril 1987, l'Iran accuse l'Irak d'avoir utilisé l'arme chimique sur les villages frontaliers d'Alout et de Kandar près de la ville de Baneh, affirmant également que 10 villageois sont blessés lors de ces attaques[12] et accusant ensuite l'Irak d'avoir utilisé l'arme chimique le 21 avril 1987 dans la région de Baneh et Sardasht et d'y avoir blessé 60 personnes[13]. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». La faible capacité offensive de l'armée et la médiocrité des généraux irakiens pourraient être compensées par l'utilisation d'armements toujours plus sophistiqués (bombes à guidage laser, chars de nouvelles générations), mais les conscrits, souvent chiites et kurdes, sont peu armés et ne servent qu'à freiner le premier élan des attaques ennemies. Le nombre des victimes du conflit n'est pas connu avec exactitude et varie selon les estimations de plusieurs centaines de milliers à plus d'un million de morts. Le 18 juillet, Khomeini accepte le cessez-le-feu exigé par la résolution 598 du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies (en) et le secrétaire général de l'Organisation peut annoncer la fin des hostilités actives pour le 20 août à 03 h 00 GMT. En 1980, ses 300 avions sont majoritairement de fabrication soviétique (MiG, Sukhoi) qui se révéleront inefficaces face aux chasseurs iraniens (de fabrication américaine). Ses membres récusent l'appellation de mercenariat, affirmant qu'ils agissent en qualité de combattants bénévoles[8]. Israël, ancien allié de l'Iran du chah, avait des raisons de redouter le panislamisme de la République iranienne et le panarabisme de l'Irak. C'est pourquoi elles ne s'opposent pas dans un premier temps à l'offensive irakienne, allant jusqu'à la soutenir ensuite. Entre 1970 et 1990, ses achats furent de 31,5 milliards de dollars (valeur 1985) et l'Union soviétique fut de très loin le principal fournisseur. La seconde erreur du président irakien vient de sa surestimation de la puissance militaire de son pays. Le groupe se réclame d'une cause apolitique et laïque[9], déclarant se battre « sans haine ni passion »[10] contre l'État islamique, désigné comme l'« ennemi de l'humanité ». Dans ces combats, l'Irak a probablement perdu une cinquantaine de chars T-62 et l'Iran une centaine de chars Chieftain et de M-60A1. En raison de cette diminution considérable, l'Irak dut recourir à l'aide de l’Arabie saoudite, entre autres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les membres français n'ont, de leur propre aveu, pas de contacts avec les autorités françaises, et le groupe n'a pas d'existence officielle[5],[7]. La guerre Iran-Irak, connue en Iran sous le nom de guerre imposée (en persan : جنگ تحمیلی, Jang-e-tahmili) ou Défense sacrée (en persan : دفاع مقدس, Defā'e moghaddas) et en Irak sous le nom de Qādisiyyah de Saddam (en arabe : قادسيّة صدّام) est une guerre qui a opposé l'Iran à l'Irak entre le 22 septembre 1980, date de l'invasion irakienne de l'Iran, et le 20 août 1988. (Crédit photo : Freedom House Flickr) Par Nicolas J.S Davies (revue de presse : Les Crises - Extraits - 11/7/18)*. En outre, nous avons vu les effets extrêmement nocifs de l'ypérite sur la jeune mère qui était enceinte de quatre mois »[14]. Selon lui le conflit aurait fait 680 000 morts, dont 480 000 Iraniens, 150 000 Irakiens et 50 000 Kurdes : « À l’époque, les Iraniens avaient intérêt à surévaluer le nombre de leurs victimes pour diaboliser l’Irak, accroître la victimisation des chiites face aux sunnites et renforcer la « martyrologie » ambiante afin de justifier les mesures d’exception. L'Irak affirmait vouloir exercer à nouveau sa souveraineté sur les voies navigables et sur les territoires du Chatt el'Arab, cédés en 1975. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Les forces irakiennes avançaient le long de trois axes : vers Qasr-e Chirin au nord, Mehran au centre, et surtout Susangard et Khorramchahr dans le sud. Espérant tirer profit de l'instabilité politique postrévolutionnaire régnant en Iran, l'Irak attaque sans avertissement formel en bombardant des terrains d'aviation iraniens le 20 septembre 1980, pénétrant sur le territoire iranien deux jours plus tard. La première attaque menée par des Mig-25 avec des FAB-500T sur une cible dans une ville Iranienne a lieu à Ispahan, le 10 mars 1985[55]. Le 28 juin 1987, l'Irak utilise l'arme chimique sur la ville de Sardasht (en) en Iran, tuant une centaine de personnes et en blessant au moins 2 000. En pratique : Quelles sources sont attendues ? L’Irak, pour sa part, l’évalue entre cinquante et soixante milliards de dollars. En Iran, lors de commémorations, les politiques et associations d'anciens combattants évoquent toujours le chiffre d'un million de morts, dont une grande partie des pertes étaient constituées de mineurs, de moins de 18 ans. ), http://www.lewrockwell.com/orig8/constantino1.html, Description de l'entreprise d'armement de Carlos Cardoen, Walsh Iran / Contra Report - Chapter 8 The Enterprise and Its Finances, « La guerre du Chatt al-Arab : les raisons de l'Irak », Division d'infanterie mécanisée irakienne, Liste des victoires des pilotes iraniens dans les combats aériens lors de la guerre Iran-Irak, Prix du livre de l'année de la Sainte Défense, Ordre de batailles et photographies des belligérants, Leçons tirée de la guerre Iran-Irak par le Corps des Marines. Comment ajouter mes sources ? Plusieurs combattants étrangers ont rejoint le Dwekh Nawsha, dont des Occidentaux américains[3], australiens, et même des Français[4].